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Schooldays |
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Jack the idiot dance |
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Education |
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The first time we fall in love |
Written, arranged |
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I'm in disgrace |
and produced |
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Headmaster |
by Master RAYMOND |
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The hard way |
DOUGLAS DAVIES |
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The last assembly |
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No more looking back |
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Finale |
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Chronologie
Schoolboys in Disgrace est paru en 1976 et clôt
la période durant laquelle les Kinks ont réalisé
des concept albums. Il se situe entre Soap Opera et Sleepwalker.
Le disque en quelques morceaux
Education
Attention, nous ne sommes pas là que pour nous éclater
sur des slows et des bons vieux rocks. Puisque Ray Davies évoque
son enfance il en profite pour régler ses comptes avec
le système d'éducation Britannique. La chanson
raconte l'histoire d'un homme des cavernes qui apprend à
lire, écrire et communiquer. Il a été sauvé
par l'éducation. Mais, même si sa science lui permet
de voler, l'éducation ne lui a pas appris pourquoi il
est sur cette terre et ce qu'il doit y réaliser. Finalement,
il était peut-être plus heureux dans sa caverne
lorsqu'il se nourrissait de lambeaux de viande crue qu'il arrachait
avec les dents. A méditer...
I'm in Disgrace
De la Pop music musclée comme on aimerait en entendre
plus souvent. Ray Davies raconte un amour d'adolescents qui s'est
mal terminé. Les parties de piano et de guitare sont géantes
: c'est une caractéristique qu'on retrouve sur la majorité
des morceaux de ce disque.
Headmaster
Ray se confesse à son proviseur. Il a honte, car il
a trahi sa confiance en commettant le pire des crimes qu'un écolier
anglais puisse commettre : il est allé avec des... filles.
Mais est-ce une raison pour le punir si durement ? Doit-il vraiment
recevoir des coups de canne ? Finalement, il y a peut-être
quelques améliorations à apporter à ce système
d'éducation... En tout cas, il s'agit encore d'un grand
morceau et les parties de guitare et les chœurs sont à
tomber.
Pourquoi j'aime ce disque
Schoolboys in Disgrace est un concept album, c'est
à dire un disque qui raconte une histoire, un tout dont
on ne peut pas extraire telle ou telle partie.
C'est pourquoi il faut l'écouter en entier pour
vraiment l'apprécier. Bien sûr il s'agit avant tout
de l'album de Ray Davies, qui en a écrit les paroles,
composé les musiques et construit les arrangements. Mais
c'est aussi le disque d'un grand groupe anglais.
Inspiré, Ray l'a déjà été
auparavant et le sera encore après 1976. Mais jamais les
Kinks n'ont aussi bien joué, et jamais plus ils ne joueront
aussi bien.
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